L’histoire de Viktor a fait du bruit, car le retraité a poursuivi l’État ukrainien devant la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) en 2018 pour demander compensation face à l’interdiction. Elle restait pourtant banale, presque sept millions de personnes étant en Ukraine propriétaires de parcelles qu’elles ne peuvent pas vendre.

Une décision historique